15, 16 mars et 18 mars, toujours autant de monde dans la rue, malgré les gazages réguliers
et toujours autant de détermination à faire reculer le gouvernement. Les poubelles brûlent,
elles ne sont plus ramassées par les travailleurs-euses en grève. Le 49.3 est déjà dans toutes
les têtes.